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Développer l’Afrique, mais comment ?

7 Avril 2012 , Rédigé par MICHEL NDOEDJE

Introduction : Les vraies causes et solutions de la misère africaine"

 

Avec 30.310.000 km² de superficie et plus de 7 000 km entre ses extrémités est-ouest et nord-sud, l’Afrique apparaît comme un continent massif et relativement homogène. Elle est constituée de plateaux et de larges cuvettes intérieures bordées de hauts reliefs périphériques qui lui font tourner le dos à la mer. L’altitude moyenne du continent est de 675 m. Couvrant les trente millions de km². Par ses dimensions, elle est la troisième des continents, après l’Asie et l’Amérique. Elle est à l’heure actuelle divisée en 54 Etats indépendants : 47 situés sur le continent lui-même, 6 Îles ou archipels constitués en Etats, le dernier (la Guinée équatoriale) étant composé d’une partie continentale et d’un domaine insulaire.

 

Le développement de l’Afrique exige le dépassement du cadre national. Ainsi Nkrumah ou Sékou Touré se firent les hérauts du panafricanisme, et le début des années soixante fut marqué par d’éphémères unions interétatiques. En 1963, les Chefs d’Etats et de Gouvernements de 30 pays signent à Addis-Abeba la charte créant l’organisation de l’unité africaine (OUA). Ils y affirmèrent notamment l’égalité souveraine des Etats membres ainsi que la non-ingérence dans leurs affaires intérieurs et y consacrèrent le principe de l’intangibilité des frontières issues de la colonisation.

 

L’autre grande organisation continentale est la Banque africaine de développement (BAD), créée en 1964, et dont le siège est à Abidjan. Financée par l’ensemble des pays du continent ainsi que par vingt-quatre autres membres non Africains, elle accorde des prêts pour la réalisation de projets dans les domaines économiques et sociaux. D’autres organisations financières ont vu le jour : CEDEAO, CEMAC, UEMOA etc.  Au total, les résultats de plusieurs années de tentatives d’intégratrices sont décevants.

 

Au vu du constat général, le développement économique des pays africains est à la traîne après des décennies d’indépendance. Pourtant, on a appliqué des modèles et idéologies de développement. La question est de savoir si la situation que vit l’Afrique est un problème d’inadaptation de ces modèles et idéologies au contexte propre du continent ou si c’est plutôt ailleurs qu’il faut chercher les vraies raisons des échecs. La réponse à cette problématique du développement de l’Afrique n’est pas aisée compte tenu de la complexité du processus de développement. L’importance de bien cerner la source de la misère africaine est alors très bienvenue dans l’approche de la vraie solution.

 

"Pourquoi la misère de l'Afrique ?" faite une analyse systémique et approfondie des vrais maux qui minent l’essor des pays africains. Apres une revue de littérature sur le développement de l’Afrique et les dérapages professionnels des cadres africains, l’importance de la ressource humaine et du savoir dans le processus de développement du continent a été démontrée. L’analyse approfondie a porté sur les carences des systèmes éducatifs, les problèmes d’intelligence et de créativité, la recherche scientifique, le négativisme, la corruption, la gestion des ressources naturelles africaines, la procréation, la sorcellerie, la politique, la mentalité africaine, la responsabilisation et la conscientisation des Africains, la fuite des cerveaux, etc. Des exemples d’élites dont l’Afrique a besoin ont été dressés.

En effet, l'Afrique souffre d'une crise intellectuelle, démographique et spirituelle. L'Afrique sombre non seulement à cause des mauvaises gestions et gouvernance de ses intellectuels, mais aussi à cause des actions diaboliques sur ce continent. Depuis la famille jusqu’au sommet de l’Etat, l'Africain a encore de grands défis à relever. Beaucoup d’Africains ont peur de réfléchir ou ne veulent pas réfléchir ; beaucoup ont peur d’agir ou ne veulent pas agir; beaucoup ont la connaissance mais ne veulent ou ne peuvent pas appliquer leur savoir. Au-delà de tous, plusieurs intellectuels sont "bloqués". Quand on sent que quelqu’un veut devenir quelque chose, on l'élimine ou on le rejette. Beaucoup de compétences sont bafouées ; les cerveaux sont peu promus et peu écoutés.

Beaucoup d’Africains ne veulent contribuer au succès des actions n’allant qu’à leur crédit. Pire, il y a une mentalité africaine qui a cloué l’Afrique et qui ne peut jamais permettre l’essor et le décollage de ce continent. Pendant que les compétents bras valides pouvant faire la différence chôme à la maison, les fainéants sont promus par leurs proches à des postes très importants et sensibles. Au même moment, les frais de mission des "Grands" ont dévalisé l’Afrique du peu de moyens disponibles, au détriment des pauvres paysans qui meurent sous le soleil du midi. De connivence avec les puissances étrangères et les politiciens, les cadres africains ont mis l’Afrique à terre. En outre, dans beaucoup de systèmes éducatifs du continent, les diplômes ne sont toujours pas le symbole d’une dose de connaissance pouvant enclencher des actions positives en matière de développement.

L’Afrique forme trop de savants, trop de perroquets ayant la tête remplie de gros mots ou grosses théories qu’on n’applique jamais, peu productifs et incapables d’agir sur les matières premières pour leur ajouter de la valeur. Ceux qui font exception à la règle sont peu. Pendant ce temps, la procréation anarchique multiplie la misère et les autres problèmes de sous développement à des vitesses qui dépassent les efforts de résolution de ceux déjà existants. Non seulement la polygamie et la gestion du sexe paraissent une des causes du sous développement de l’Afrique, mais aussi elles constituent une vraie culture de la misère africaine.

En outre, l’intellectuel africain est sous l’influence de beaucoup de facteurs spirituels qui biaisent le résultat de ces efforts vers le développement. Malheureusement, les débats classiques sur le sous-développement de l’Afrique ont toujours ignoré la vraie dimension spirituelle du problème. Sans doute, les pays développés ont eu des atouts qui les avaient lancés. Ces pays ont eu leur siècle des lumières. De grands savants avaient pensé et contribué à mettre ces nations sur le bon chemin. Aujourd’hui, en Afrique, les cerveaux pensants ont même peur d'y rester. Il se pose en Afrique un vrai problème de coordination, de conscientisation, de responsabilisation, d'application intelligible et rationnelle des stratégies de développement par rapport aux besoins, atouts et contraintes des nations africaines. Et pour trouver la solution durable à cette misère africaine, " Développer de l’Afrique mais  comment ?" propose des reformes pertinentes et pratiques en vue de lancer l’Afrique vers le développement. Cette publication et revue sur ce blog est, pour toute personne préoccupée par le développement de l’Afrique, un outil d’information, de réflexion et de travail.

Est-ce que les Africains ont le courage de reconnaître les vérités ?

Les Etats-Unis, censément capitalistes, se pressent d'emprunter encore des trillions de dollars pour nourrir la gigantesque machine du gouvernement ; sans surprise, l'économie a du mal à rattraper la croissance de la population. A l'autre bout du globe, la Chine, prétendument communiste, embrasse le secteur privé et se débarrasse de l'excès de Bureaucratie, donnant naissance à une expansion épatante, un bon exemple !

La France, père colonisateur de certains pays francophone du continent noir et démocratique, elle, jouit de certains avantages structurels, tel que les attraits touristiques les meilleurs du monde et une position centrale en Europe ; toutefois, la fierté entêtée des Français de leur histoire de socialisme les enfonce dans un bourbier économique. Simultanément, Dubaï, autoritaire, profite d'un petit gouvernement discipliné, qui n'exige guère d'impôts et qui facilite un développement stupéfiant.

D'aucuns considèrent ces conditions comme naturelles, ou accidentelles, et ne se posent pas ces questions :

La liberté économique, est-elle véritablement tellement obscure que les populations démocratiques ne peuvent pas appréhender son importance capitale ? Est-ce que son pouvoir restera donc aux mains de despotes, alors que les peuples libres ratent sottement l'occasion d'améliorer leurs vies ?A-t-on peur d'imiter ce qui marche, et d'abandonner ce qui échoue ?

Comment peuvent les socialistes prétendre qu'ils protègent les pauvres, alors qu'ils s'opposent à la liberté économique, le seul moyen de créer une économie en expansion rapide où foisonnent les bons emplois ?Dans le contexte africain, combien de temps nous vautrerons-nous dans l'échec avéré du modèle socialiste européen avant d'adopter enfin le modèle libéral qui a béni l'Asie ?

De toutes les questions que soulève l'impuissance des démocraties à sauvegarder leur liberté économique, voilà la première : comment pourrait-on persister à ignorer le cataclysme du socialisme ?

En grande partie, le caractère peu imaginatif des non-érudits explique ce dilemme. Comme John Stuart Mill a remarqué en son temps, la plupart des gens croient que la situation a toujours été, et sera toujours, comme elle l'est à présent. Si la solution admise à n'importe quel problème consiste à dire « plus de gouvernement », les gens ordinaires présument inconsciemment que cette réponse retentit à travers les âges, comme la voix de Dieu.

Bien sûr, la paresse fait aussi son boulot. Si les gens ne sont pas nés paresseux, la fainéantise est en tout cas une affliction difficile à éradiquer une fois établie. Quand l'enfance des gens a été bercée par la promesse que le gouvernement s'occupera de leurs besoins et endossera leurs devoirs charitables, ils ont franchement terreur de la perspective d'agir en tant qu'adultes indépendants.

Indubitablement, les prétendus bénéficiaires du socialisme ; les pauvres, les enfants, et l'environnement ; en constituent en fait les premières victimes. Les pauvres ne peuvent pas trouver de boulots décents à cause du marasme économique. Ils n'arrivent à créer leurs propres entreprises non plus, étant donné le malaise général. Les politiciens sacrifient l'air, l'eau, et les forêts en réponse à la pression de l'électorat, qui pressent que l'économie déjà handicapée saura un effondrement complet si on ajoute la charge supplémentaire d'une politique responsable face à l'environnement.Les enfants, eux, ne peuvent pas développer leurs individualités dans une diversité de milieux scolaires ; au contraire, ils deviennent homogènes dans le système scolaire public. A la place de rêver de devenir des propriétaires d'entreprises et d'usines, les étudiants aspirent à devenir des bureaucrates comme leurs enseignants étatiques. Au lieu d'instruction concernant l'importance de la liberté individuelle et de la compassion innovatrice pour l'autrui, les élèves n'apprennent que l'histoire triste de leur gouvernement augmentant.

L'Afrique subsaharienne n'a pas besoin de ces problèmes. Les investisseurs ont déjà peur d'y investir leur argent. Alors qu'existent plusieurs exemples de démocraties stables, tel que le Botswana, l'île Maurice, le Ghana, et le Sénégal, les désastres et les tyrannies nombreux donnent l'impression que les cauchemars financiers se tiennent à l'affût en Afrique. (L'Afrique du sud, avec plus de 18.000 meurtres enregistrés l'an dernier et la sympathie du président Mbeki pour l'auteur de meurtres collectifs, Robert Mugabe, n'est pas une des meilleurs enfants.) La liberté économique représente le seul moyen de donner envie aux investisseurs de prendre une rasade de courage. Tant que l'Afrique ne peut offrir qu'une réputation pour l'instabilité et les contraintes du socialisme, elle n'a aucune chance d'être concurrentielle. Dans ce cas, les milliers de projets caritatifs sur le continent n'ont aucune perspective d'avoir un grand impact sur la pauvreté.

Alors que l'Afrique a plusieurs raisons culturelles, artistiques, et sociales pour la fierté, son expérimentation catastrophique avec le socialisme européen n'en est pas une. La dépendance sur l'aide des pays européens, eux-mêmes incapables de concurrencer avec les puissances industrielles asiatiques, constitue une béquille vermoulue et détourne l'attention de la vraie source de délivrance. Les socialistes français, menant des conférences universitaires insignifiantes, ou se détendant derrière le micro à la Radio France Internationale, maintiennent que la liberté empêche la soi-disant protection sociale et les règlements compliqués qui limitent la semaine de travail à 35 heures et rendent les affaires plus difficiles. En réalité, pourtant, plus l'Afrique imite l'Europe, plus la vie estun enfer.

En tout cas, les affaires marchent si mal que l'Etat se retrouve dépourvu d'argent pour une quelconque protection sociale. Les enfants doivent vendre des outils et autres, risquer la vie en courant entre les voitures. Les filles se prostituent ou prient pour un mariage leur permettant d'acquérir un visa d'un pays lointain.

Par contre, les résultats de la liberté économique ne permettent pas beaucoup de débat sérieux. La Chine, certains pays d’Asie et Dubaï représentent probablement les meilleurs exemples modernes des pays qui ont libérés leurs potentiels caché grâce à la clef que constitue la liberté économique. Contraire à une interprétation erronée vulgaire, le pétrole ne constitue que 6% de l'économie de l'émirat. Cette économie fuse à un taux de croissance de 17% par an, alors que le secteur de la construction monte en flèche à 30% par an. Non seulement y a-t-il assez de travail pour tout secteur de société – pas question de chômer ou de râler – mais de quoi subvenir aux besoins d'immigrés, à tel point qu'ils constituent 80% des habitants ! Mais ne cherchez ni les bureaucrates qui dirigent le spectacle, ni les percepteurs gloutons, ni la foule qui tend la main pour demander l'argent des contribuables – ces vauriens n'existent pas.

A travers l'Amérique, l'Europe, et l'Afrique, les socialistes s'allient. Pour eux, « la solidarité » veut dire s'asseoir en cercle, fermer les yeux, et psalmodier. En effet, psalmodier, créer une fausse réalité collective pour remplacer la vérité d'une France coulant et d'un Dubaï de haut vol : voilà leur moyen de survie.

En tant qu'Africains misérables, nous devons reconnaître et dénoncer ces récitations. Nous devons nous rappeler que le gouvernement, comme le feu, constitue un bon serviteur mais un terrible maître. Donc, le gouvernement ne peut se charger que des rôles qui portent une contribution au bonheur humain : la protection des enfants et de l'environnement, et la lutte contre la force et la fraude. L'essentiel, c'est que le gouvernement reste petit et ne gêne pas le travail des entrepreneurs et des organisations caritatives privées.

Si nous voulons un avenir meilleur, la société doit estimer les directeurs généraux plus que les législateurs ou les présidents. Une personne qui crée la richesse mérite plus de louanges que quelqu'un qui emploie le pouvoir parasitaire pour la prendre.

Une nouvelle vision pour la réussite de l’Afrique que je vous propose. Ici le débat est ouvert.

Avec plus d’un milliard d’habitants en 2011, l’Afrique est le deuxième continent le plus peuplé du monde (après l’Asie). Divisée en 54  pays et territoires insulaires, le vieux continent souffre d’innombrables crises, amères et durables. Vers la fin du XIXe siècle, les puissances impérialistes européennes se lancèrent dans de grandes manœuvres territoriales et occupèrent l’essentiel du continent, créant de nombreux Etats coloniaux. Cette domination coloniale des Européens se poursuivit jusqu’à la fin de la Seconde Guerre Mondiale, lorsque les mouvements de libération commencèrent à se répandre dans toute l’Afrique. Les populations locales combattirent alors longuement et au prix de lourds sacrifices pour se libérer du joug des puissances européennes qui administraient alors leurs pays.

 

Au début des années 60, la plupart des nations africaines obtinrent leur indépendance. Cette période de décolonisation sera malheureusement marquée par une irruption des conflits internes. Ce qui avait pu être envisagée comme une période de triomphe se révéla frappée de conflits violents, lors desquels les différentes factions et les différents dirigeants combattirent pour s’approprier le pouvoir une fois les puissances coloniales parties. L’Afrique ne fut plus qu’un patchwork d’Etats-nations aux frontières tracées depuis les capitales européennes par les colonisateurs. 

 

Aujourd’hui, les 54  pays  indépendants et souverains que compte l’Afrique partagent toujours, pour l’essentiel,  des frontières tracées du temps de la colonisation européenne. Et aujourd’hui plus que jamais, les Etats africains sont la proie de l’instabilité, de la corruption, de la violence et des régimes autoritaires. Trente-cinq conflits armés ont eu lieu dans l’Afrique Subsaharienne lors des quatre dernières décennies, coûtant la vie à plus de dix millions de personnes.

 

Pendant dix mois, à partir du printemps 1994, les luttes génocidaires et les épidémies qui en résultèrent parmi les réfugiés entraînèrent la mort de près d’un million de citoyens pour le seul petit pays du Rwanda.  L’instabilité que cela a  entrainée  en République Démocratique du Congo a conduit à plusieurs millions  de morts additionnels.

 

Dévastée par la guerre, la sécheresse et la famine, la population de réfugiés du continent avoisine probablement les 26 millions de personnes.  Si on met de côté les guerres et les atrocités, les conditions sociales et économiques indigentes dans la grande majorité de l’Afrique sont probablement les motifs de sa misère actuelle. La plupart des experts s’entendent ainsi pour défendre que la structure économique même de l’Afrique soit la raison essentielle de sa crise perpétuelle.

 

En clair, l’Afrique est conditionnée pour la dépendance plutôt que pour l’autosuffisance. Cette structuration oblige l’Afrique à continuer à produire des biens dont elle n’a pas besoin. Ses populations ne consomment qu’une infime fraction des biens que le continent produit et dépendent en même temps des autres continents pour produire ce dont elles ont besoin. Cette structure est davantage orientée vers l’import-export que vers la production. On peut alors affirmer que l’Afrique :

·         A considérablement réduit sa production économique per capital depuis les années 80.

·         Dépend de technologies primitives et de la pluviométrie pour son agriculture.

·         Est fortement dépendante des importations de capitaux, de main d’œuvres qualifiées, de technologie et de pièces de rechange.

·         Est peu favorable à l’esprit d’entreprise et aux compétences managériales, qui sont soit rares, soit éconduits et poussés à partir faute d’opportunités.

·         Comprend beaucoup de petits Etats avec des populations en nombre très faibles. 

·         Dispose du plus grand nombre de pays pauvres de la planète. 

·         Est la destination de quasiment la moitié de l’aide alimentaire mondiale d’urgence. 

 

Mais bien de choses peuvent  changer, si seulement les dirigeants Politiques de notre Afrique y mettent un peu du sérieux dans la gestion. Vous penserez sans doute que les idées que je présente dans cettepublication sont mythiques, et émettrez le plus grand scepticisme. Mais imaginez que nous soyons en 2012, que nous soyons en train de discuter et que je présente les prédictions suivantes pour 2025. Ne penseriez-vous pas également que jesuisun rêveur quej’ai perdu tout contact avec la réalité ? Malgré ces idées, les signes ne sont pas trompeurs :

 

·         Deux régimes autoritaires en Afrique du Nord sont tombés suite  à des manifestations pacifiques et le président du Libéria est une femme.

·         La Pologne, la République Tchèque, la Hongrie, la Lettonie, la Lituanie, l’Estonie, la Roumanie, la Bulgarie, la Slovaquie et l’Albanie appartiennent à l’alliance militaire de l’OTAN et le Sénégal vient de prendre une décision de changer le vieux opposant Wade, au choix de Massi SAL qui voulait resté au Pouvoir comme les autres chefs d’état, ainsi un nouveau air souffle au Sénégal.

·         Chaque année, des milliers de femmes et d’hommes africains font la connaissance de leurs conjoints, qui vivent sur d’autres continents, à travers un ordinateur   -  le  plus souvent depuis un endroit appelé cybercafé, quel changement de comportement dans les années avenirs ?

·         Certaines des plus grandes banques et compagnies d’assurances aux Etats-Unis et au Royaume-Uni sont détenues majoritairement par l’Etat.

·         Le président des Etats-Unis s’appelle Barack Hussein Obama. Son père était un noir du Kenya et sa mère une blanche du Kansas.

·         Le laxisme de la corruption au Cameroun, vient de prendre fin avec l’arrestation de certains leaders du RDPC et ancien membre du Gouvernement.

 

Vous le voyez, des changements imprévisibles peuvent arriver en l’espace de deux décenniesy compris la vision certes surprenante, mais, à 100% plausible d’une amélioration considérable de la situation de l’Afrique et au Cameroun qui est présentée ici. Et nous devons nous mettre à danser  très vite. . . L’Afrique doit de toute urgence  intégrer ses économies. L’approche en solitaire qui marqua les efforts de développement de l’Afrique depuis l’indépendance s’est caractérisée par un échec total. Les pays d’Afrique et ceux sur qui ils dépendent fortement doivent se rendre à l’évidence que  leur survie et leur développement ne peuvent se réaliser que par leur assemblage en des entités politiques viables.

 

Mon objectif est d’amener les citoyens de tous les pays d’Afrique aux niveaux de vie des pays développés d’ici 2025. L’atteinte de cet objectif implique que l’Afrique et le monde entreprennent des mesures stratégiques afin de dépasser le modèle actuel des 54 pays en difficultés pour les amener à se regrouper en 3 Super Fédérations (le nord, le sud et le centre avec des objectifs communs, chose que nos colonisateurs n’acceptent pas, cause de la mort de Mohamad Kadfi de Lybie).

 

La vision 2025 pour l’Afrique: 3 Super Fédérations Panafricaines. Si ces Super Fédérations existaient aujourd’hui, elles seraient toutes parmi les vingt plus importantes Économies de la planète. L’Afrique doit, et peut, passer de la pauvreté au redressement économique. Elle doit également franchir la phase de redressement pour parvenir à la prospérité économique. Il est temps que la vieille garde soit relevée de ses responsabilités dysfonctionnelles. Il est temps que la nouvelle génération   La nouvelle Afrique, en quelque sorte   prennent les responsabilités et guident l’Afrique vers une existence où la contribution prend le pas sur la dépendance.

 

De la même manière que le slogan de campagne désormais historique de Barack Obama, « YesWe Can ! », a insufflé une énergie exceptionnelle aux Américains qui étaient en quête désespérée d’un nouveau sens pour leur nation, les peuples d’Afrique doivent également croire en la possibilité d’un changement considérable en Afrique. Les avantages de l’adoption de l’attitude « YesWe Can » lorsqu’il s’agit de l’Afrique ?

 

·         La misère peut être éradiquée, le bien-être des pauvres et des faibles peut être relevé.

·         Un accès aux biens et services de première nécessité, pour la survie et le bien-être des personnes. 

·         Des services tels que l’éducation, la couverture maladie, et les transports peuvent être plus accessibles et disponibles.

·         Un affaiblissement de la dépendance envers les biens et services importés.

 

Les Etats-unis de l'Afrique en trois  Super  Fédérations  que nous proposons peuvent également assurer les garanties fondamentales et la sécurité que tout Etat se doit d’offrir à ses citoyens. Au lieu de cela, de nombreux pays soi-disant souverains ne peuvent même pas à l’heure actuelle protéger leurs populations des multiples petits groupes rebelles. Certains d’entre eux sont même les prédateurs de leurs propres populations.

 

Il y a une expression populaire en Afrique qui exprime l’idée selon laquelle la plupart des Africains « n’ont que leurs yeux pour pleurer ».  Cela signifie que beaucoup considèrent qu’ils n’ont que des faibles ressources à leur disposition et que leur potentiel de croissance est limité. Qu’il n’y a plus d’espoir. Alors même qu’il peut être facile de supposer que les fiertés nationales et les conflits locaux qui datent de temps immémoriaux amèneraient les peuples à rejeter la notion même des 3 Super Fédérations, cette supposition n’est pas valide :

 

·         Dans l’état actuel des dispositions, seuls l’élite et les chefs de guerre connaissent la prospérité. Plus les Africains verront qu’on peut changer la manière dont les choses sont à l’heure actuelle, plus le monde  ne sera surpris par leur capacité à embrasser des changements considérables.

·         Si, après tout, des Américains de tous horizons ont pu tellement vouloir le changement promis par celui qui était encore le candidat Barack Obama, qui peut affirmer que les Africains ne vont pas adhérer massivement à l’idée forte des 3 Super Fédérations?

 

Pourl’ultime évolution de l’Afrique, il est important de se constituer en un Etat-Unis de l'Afrique, une réunification qui permettra à l’Afrique de faire face à toutes les situations et à agir efficacement et pour de bon dans le meilleur intérêt de cette petite planète qui est la nôtre.

 

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B
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D
Bonjour<br /> Je me suis fait arnaqué à plusieurs reprises concernant les prêts d'argent entre les dits particuliers, j'ai fini par trouver une personne de bon cœur qui m'a donné sa parole en m'accordant un prêt que je voulais depuis des années et grâce à lui j'ai retrouvé de sourire aux lèvres tout en réalisant mes rêves et payer mes dettes.<br /> Grâce à Dieu en 72 heures déjà j'ai eu le virement des frais sur mon compte.<br /> Pour vous qui êtes aussi dans le besoin pour vos problèmes financiers je vous laisse son e mail, contactez-le et il vous aidera: (germaindurbois@gmail.com )<br /> Merci de partager le message a vos proches qui sont dans le besoin car je ne me lasserai jamais de lui remercier.
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A
Bonjour<br /> Ayant tout perdu tous à cause d’une incendie je croule sous des dettes et cette situation s’est empiré avec les faux prêteurs,je me suis fait avoir plusieurs fois par ces indélicats mais je ne me suis pas découragé vu ma situation,alors j’ai contacté Mr GERMAIN DURBOIS celui dont tout le monde parle sur les forums .Mr GERMAIN DURBOIS il m’a fait suivre des procédures sécurisées pour nous deux et j’ai fini par avoir les 150.000€ pour l’ achats d’une maison et j’ai pu reprendre mes activités je le remercie .Si vous avez besoin d’un prêt honnête, sérieux et fiable voici son mail: (germaindurbois@gmail.com )
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